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E-nov1 rejoint Promusicfrance

E-nov1, organisation des artisans et des professionnels de la culture électronique, est heureuse de rejoindre au sein de Promusicfrance (Promusicfrance.com), les principaux acteurs de la musique française.

Promusicfrance a été créée à l'initiative des producteurs (majors et indépendants - SNEP et UPFI) des auteurs, compositeurs et éditeurs (SACEM, UNAC, CSDEM), des producteurs de spectacles (Prodiss), des managers (MMF France) et des magasins de disques (SDSD).

Plan d’urgence

E-nov1, organisation des artisans et des professionnels de la culture électronique, a demandé au Ministre de la Culture, par courrier en date du 8 avril et lors d’une rencontre avec son cabinet le 25 mai dernier, une aide financière d’urgence pour des événements dits « officiels » organisés par des professionnels issus du secteur de la culture électronique.

Mention légale : voté au Sénat

Après avoir été voté à l’unanimité à l’Assemblée Nationale le 08 janvier 2004, la mention légale « le piratage nuît à la création artistique » (voir e-locution 15) a été adopté au Sénat dans le cadre de la loi sur « l’économie numérique ».

Piratage et diversité culturelle

E-nov1, organisation des artisans et des professionnels de la culture électronique, travaille pour une évolution du cadre législatif et une meilleure considération des média pour notre culture.

Téléchargement pirate : la mention légale
E-nov1 se félicitait le vendredi 09 janvier, que son idée d’une mention légale (« le piratage nuît à la création artistique ») soit adoptée à l’unanimité à l’Assemblée Nationale, dans le cadre de la loi sur l’économie numérique (voir e-locution n°16).

Mention légal : le piratage nuit à la création artistique

Le 8 octobre dernier, e-nov1 (organisation des artisans et des professionnelles de la culture électronique) s’interloquait lors du communiqué de presse « les grands gagnants du téléchargement pirate » (e-locution n°15) sur les slogans tel « 660K infiniment plus de musique » ou encore « téléchargement plus rapide : musique, jeux, vidéo, shopping… » utilisé pour vendre l‘internet à haut débit par les fournisseurs accès.

Les grands gagnants du téléchargement pirate.

Pendant que le marché du disque français et mondial s’effondre (-30 % en juillet/août en France – Libération du 06/07 Septembre 2003 ), le nombre de personnes qui développe un « comportement à risque » pour l’avenir des artistes, auteurs et producteurs s’accroît en France, mettant ainsi en péril nombre d’emplois et d’entreprises de l’industrie musicale et maintenant cinématographique.

Monsieur techno

E-nov1, organisation des artisans et des professionnels de la culture électronique, se félicite de l’initiative de Monsieur le Ministre de la Culture et de la Communication, Jean-Jacques Aillagon, de nommer un « monsieur techno » en la personne de Monsieur Henri Maurel, président de la radio FG, au poste de chargé de mission au sein du département de l’information et de la communication du Ministère de la Culture « pour les questions touchant à la radio et à la techno ».

Midem : " Protége ta culture, protége tes oeuvres ! "

Dimanche 19 Janvier 2003 à 15 H 00 en partenariat avec le MIDEM, e-nov1, organisation des artisans et des professionnels de la culture électronique, vous propose un atelier débat : " Protége ta culture, protége tes oeuvres ! ".

Une meilleure visibilité de la musique électronique sur M6.

Sur une proposition d’e-nov1, M6, deuxième chaîne française, change son pictogramme lors de la diffusion de clips dans la tranche « Alternative ».

À partir du mercredi 06 Novembre 2002, M6 indiquera le style musical du clip diffusé à côté de la cartouche « Alternative » (par exemple « électro », « techno », « rap », « rock » ...).

Sacem, à qui profite le set ?

Dj’s, compositeurs, éditeurs, votre travail vaut de l'or !

E-nov1, organisation des artisans et des professionnels de la culture électronique, agit afin que ses acteurs « Techno » puissent vivre de leur passion et de leur métier. Ainsi, e-nov1 travaille et se consacre uniquement aux dossiers importants pour les professionnels de notre culture.

« La répartition des droits Sacem » est vraisemblablement le dossier le plus brûlant de tous ! Chaque année, de nombreux clubs, producteurs de soirée ou bars, accueillent des artistes de musiques électroniques, DJ's ou musiciens, et de ce fait payent des droits à la Sacem.